Guide d’achat : comment choisir le meilleur absorbant pour son entreprise ?

Comment savoir de quels produits absorbants l’entreprise a besoin ?

Déversement de produits chimiques ou écoulement accidentel de liquides, les absorbants protègent les hommes et l’environnement. Ils évitent aussi le coût important que représente le nettoyage en profondeur des zones touchées. Mais encore faut-il identifier quel absorbant choisir pour son entreprise, que ce soit à titre préventif ou en réaction à un incident.

Les bonnes questions à se poser avant de choisir un absorbant

L’absorbant dépend de l’activité même de l’entreprise et du type de produits présents dans les locaux. Voici donc les premières questions à se poser pour savoir de quels produits absorbants l’entreprise a besoin :

  • Quels sont les liquides utilisés ?
  • De quelle nature sont-ils ? (eau, huile, hydrocarbures, produits chimiques, boissons, sang…)
  • Quel volume de liquides est présent dans l’entreprise ?
  • Quelle quantité risque d’être déversée (accidentellement ou non) ?
  • Quelles zones doivent être protégées ?
  • Dans quel type d’espace les substances sont-elles manipulées ?

Revenir sur des accidents passés et s’interroger sur de possibles précautions pour le futur permet d’affiner la sélection d’absorbants en plus d’initier une politique de prévention des dangers.

Un suivi des stocks efficace est primordial pour éviter de se retrouver à court de produits absorbants, mettant ainsi en danger le personnel de l’entreprise et l’environnement. Il convient donc de s’assurer d’en avoir toujours suffisamment à disposition.

Les différents formats d’absorbants

Les produits absorbants se présentent sous plusieurs formes :

  • En boudins ;
  • En feuilles :
  • En rouleaux ;
  • En coussins ;
  • En granulés.

Chacun présente des spécificités qui lui sont propres et est conçu pour une utilisation en particulier. Tenir compte de la nature des liquides présents dans les locaux permet de faire un choix éclairé.

Quel absorbant choisir pour quel type de liquide ?

Le choix de l’absorbant dépend de la nature du ou des liquides à absorber : hydrocarbures, produits chimiques ou autres, chaque typologie nécessite une solution qui présente les caractéristiques adaptées.

Absorbants pour hydrocarbures

Ce type d’absorbants convient à la fois aux huiles, aux essences et aux hydrocarbures. Il est également très efficace pour dépolluer un point d’eau.

Plusieurs références sont présentes dans notre catalogue d’absorbants pour hydrocarbures. Elles proposent des degrés d’absorption, de résistance et de technologie différents.

Les tissus Meltblown sont intégralement constitués de polypropylène. Leur propriété hydrophobe leur permet d’absorber les matières polluantes tout en repoussant l’eau. Parmi toutes les solutions existantes, ce produit est celui dont la vitesse et la capacité d’absorption sont les plus importantes.

Pour un besoin de résistance supérieure ou un passage plus intensif, Perrine Corre, chef de produit sur la catégorie des absorbants industriels et notamment sur la marque Ikasorb®, conseille d’opter pour les Meltblown Dimpled (en feuille ou en rouleau) ou les Meltblown Dimpled+.

Pour les entreprises qui recherchent un tissu non pelucheux doté d’une surface renforcée, le Coverstock Meltblown Coverstock est à privilégier (en rouleau ou en feuille)

Ikasorb® est une marque experte Private Label de Manutan, spécialisée dans les absorbants industriels milieu et haut de gamme, proposant plus de 60 références dans son catalogue.

Absorbants pour produits chimiques

Tout produit chimique ou dangereux nécessite un absorbant très résistant pour endiguer la fuite rapidement et pour éviter de mettre en danger le personnel.

Les absorbants pour produits chimiques sont colorés afin d’être facilement visibles de tous et sont résistants à l’abrasion.

Pour prévenir les déversements dangereux, il est recommandé de protéger les zones à risque avant de commencer le travail. Cependant, si un incident survient malgré tout, les produits absorbants seront d’une grande utilité.

Rappelons qu’il est indispensable d’utiliser un équipement de protection individuelle (EPI) pour toute manipulation de produits chimiques.

En rouleaux, en feuilles, en boudins, en coussins… Pour choisir le format d’absorbant le plus judicieux, il convient de tenir compte des espaces concernés. En fonction de la surface ou de la nature de la zone, de sa fréquentation par les collaborateurs ou encore de son utilisation, la solution à privilégier ne sera pas la même.

Absorbants universels

Choisir un absorbant universel est idéal pour agir sur un grand nombre de liquides (eau, huile, liquides de refroidissement, peinture, alcool…), mais aussi pour faire face aux imprévus.

Plusieurs technologies sont disponibles afin de s’adapter au mieux aux besoins des entreprises.

Voici quelques exemples, présentés par ordre croissant de résistance et d’intensité du trafic et décroissant pour la capacité et la vitesse d’absorption :

  • Meltblown Dimpled (MD) ;
  • Coverstock Cellulose Coverstock (CCC) ;
  • Coverstock Meltblown Coverstock (CMC) ;
  • Meltblown Dimpled+ (MD+) ;
  • Spunbond Meltblown (SM) ;
  • Spunbond Meltblown Spunbond (SMS).

Ainsi, plus un absorbant est résistant, moins sa capacité et sa vitesse d’absorption sont fortes, et inversement.

Pour s’y retrouver, il est possible de se reporter au tableau récapitulatif disponible sur la page des absorbants universels.

Quels que soient les produits absorbants choisis, il est recommandé de les stocker au sec et à l’abri des UV pour garantir leur conservation durable. De même, il est conseillé d’entreposer les absorbants pour hydrocarbures séparément des autres afin qu’ils conservent leur propriété hydrophobe, essentielle à leur efficacité.

Il existe également des absorbants naturels et écologiques en granulés. D’origine minérale ou végétale, ils sont fabriqués à partir de sable, d’argile, de vermiculite, de terre de diatomée, de sciure de bois, de paille, de tourbe… En plus d’être un produit respectueux de l’environnement, leur prix est très abordable et ils possèdent des propriétés antidérapantes et non-abrasives.

Quel format d’absorbants choisir ?

Cela peut sembler évident, mais en fonction de la situation, un format d’absorbant donné sera plus pertinent qu’un autre. Alors, parmi la gamme de produits Ikasorb®, lequel privilégier dans quel cas ?

Pour des déversements mineurs

Pour faire face aux écoulements légers, deux choix sont possibles : les absorbants en feuilles et en rouleaux.

Les feuilles sont idéales pour absorber de faibles volumes de liquide et nettoyer les petites surfaces, notamment les machines et les espaces adjacents. Rapides d’utilisation et faciles à stocker, les feuilles absorbantes sont très pratiques et multi-usages.

Les rouleaux sont prédécoupés. Ils peuvent donc être utilisés en longue bande pour protéger une large zone ou en feuilles pour éponger une quantité de liquide plus réduite. Les absorbants en rouleaux sécurisent rapidement un poste de travail ou une zone de passage et s’adaptent facilement à toutes les situations.

Meilleurs absorbants pour les zones difficiles d’accès

De par leur forme et leur flexibilité, les boudins s’adaptent parfaitement aux endroits étroits et difficilement accessibles (derrière des conduits, autour des machines…).

Besoin d’absorber une grande quantité de liquide

Véritable barrière, les boudins canalisent les liquides et empêchent la progression des déversements importants. Ils peuvent retenir une grande quantité de substances et s’ajustent aux endroits étroits et difficiles d’accès.

Autre solution, les coussins permettent eux aussi d’absorber les grosses fuites et leur utilisation est idéale pour les espaces réduits.

Protéger les voies d’écoulement contre les déversements de produits chimiques

Les plaques d’obturation font office de barrage antipollution afin d’éviter tout déversement de liquides dangereux dans les voies d’écoulement. Leur couleur orange permet de visualiser la zone à risque. Elles sont résistantes à l’eau, aux huiles, aux hydrocarbures ainsi qu’aux produits chimiques et sont réutilisables.

Nettoyer les liquides type sang, vomi, urine, boissons

Les absorbants pour liquides à base aqueuse sont tout indiqués pour le nettoyage de substances telles que le sang, l’urine, le vomi, les boissons… Ils sont très faciles d’utilisation : il suffit de saupoudrer le liquide, d’attendre quelques secondes qu’il se gélifie et de ramasser en toute simplicité.

Ce type d’absorbants fait partie des indispensables des hôpitaux, transports en commun, centres commerciaux, écoles, centres aérés et tout bâtiment public à fort trafic.

Afin de protéger les zones de passage, il est conseillé de se munir de tapis absorbants multi-usages. Très robustes, ils sont idéaux pour les allées à fort trafic et autour des machines où la circulation est dense.

Les kits d’absorbants pour faire face à n’importe quelle situation

Certains incidents peuvent nécessiter un type d’absorbant particulier, habituellement peu utilisé. Pour être préparé à toutes les éventualités, il est conseillé de toujours avoir des kits d’absorbants en sa possession. Composés de plusieurs formats, ils permettent de réagir à des situations variées et affichent un prix avantageux.

Disponibles en sac, en armoire, en coffre et en conteneur mobile, ils sont les alliés des entreprises pour les interventions d’urgence.

La marque Manutan : 5 bonnes raisons pour choisir des produits de qualité

1. L’offre

Avec plus de 5 800 références disponibles, la marque Manutan vous propose tout le nécessaire pour votre équipement professionnel. Conçus avec soin, nos produits sont pensés pour s’adapter au mieux aux besoins des professionnels et leur permettre de travailler dans des conditions optimales.

L’offre Manutan couvre ainsi 8 univers produits :

  • Bureau (armoires, lampes, vitrines, tapis, paperboards …) ;
  • Entrepôt (étagères, diables élévateurs, chariots, vestiaires, armoires ,rayonnages…) ;
  • Fournitures industrielles et outillage (outillage, étiquettes et porte-étiquettes, cales étalon, lampes, enrouleurs, loupes, clés …) ;
  • Emballages et bacs (cartons, bacs, tables d’emballage, films à bulles, feuillards …) ;
  • Sécurité (miroirs de sécurité, EPI, poteaux, chaussures de sécurité, armoires à pharmacie …) ;
  • Espace extérieur (barrières, abris et supports cycles, tables de pique-nique, ralentisseurs…) ;
  • Hygiène (poubelles et poubelles de tri, chariots et produits d’entretien …) ;
  • Restauration (tables, chaises, buffets, fontaines à eau …).

Ces milliers d’incontournables du quotidien vous permettent d’exercer votre activité avec du matériel performant, mais aussi de sécuriser votre lieu de travail ou de l’aménager et de l’adapter à vos besoins.

2. Le succès

La marque Manutan est née pour proposer tous les équipements nécessaires aux professionnels avec un bon rapport qualité/prix, concurrençant les plus grandes marques.

Ces produits regroupent toute l’expertise que l’entreprise a acquise durant plus de 50 ans d’existence. Notre offre est sans cesse testée et améliorée afin de s’enrichir continuellement.

La marque Manutan doit son succès à plusieurs atouts qu’elle met au service de ses produits :

  • Un savoir-faire enrichi au fil des années ;
  • Des processus efficaces mis en place ;
  • Des équipes performantes et motivées
  • Des fournisseurs de qualité ;
  • Des matériaux responsables et avec des origines contrôlées ;
  • Une chaîne de production contrôlée par la marque, etc.

L’objectif est de proposer une solution gagnante pour les professionnels. Et ça marche, puisque 94 % des clients sont satisfaits ou très satisfaits par les produits de la marque Manutan. En effet, ce sont plus de 150 000 clients qui nous font confiance et qui ont adopté la marque Manutan pour s’équiper au travail.

3. Le prix

Nos équipements offrent une alternative intéressante aux produits officiels des grandes marques. En effet, au niveau prix, Manutan se positionne comme une marque de distributeur, sans pour autant négliger la qualité de ses produits, au contraire !

La marque a su concentrer toute son expertise dans ses produits, tout en faisant en sorte d’afficher un rapport qualité/prix satisfaisant. En effet, les produits Manutan sont en moyenne 15 % moins chers que les grandes marques.

Avec ses larges gammes de produits professionnels, elle se place comme une alternative fiable pour l’équipement professionnel et permet aux entreprises de faire de réelles économies.

4. La qualité

Les produits de la marque Manutan respectent les normes européennes qui leurs sont applicables pour garantir leur qualité et la sécurité des clients. La conception de ces produits est en cohérence avec l’engagement général de l’entreprise. L’objectif est de satisfaire au maximum les clients avec une offre qualitative à un prix moins élevé que ceux proposés par les grandes marques.

Des tests sont réalisés sur les produits avant leur mise sur le marché. Dans son interview, Thibault Brauge, responsable assurance qualité fournisseur chez Manutan, évoque ainsi en détail la procédure qu’il a mise au point pour évaluer le système électrique d’un bureau : il a procédé aux tests élémentaires en interne, puis a missionné un prestataire pour tester la durée de vie du produit, en conditions réelles. Par exemple, les bureaux sont testés dans une étuve à 45° avec un certain taux d’humidité avant d’être soumis à un poids d’une soixantaine de kilos.

5. La garantie

Pour garantir et mettre en avant la qualité de ses produits, Manutan a mis en place une politique de garantie longue permettant aux clients de tester plusieurs fois leurs équipements afin de se rendre compte de leur performance et de leur durabilité.

La marque Manutan applique donc à tous ses produits une garantie unique de 10 ans et de 3 ans aux consommables et aux produits d’équipements de protection individuelle (EPI).

La garantie de qualité est également assurée par la performance, l’adaptabilité et l’écoute du service client, disponible 5 jours par semaine pour répondre à toutes vos demandes et rendre votre expérience d’achat la plus agréable possible.

Toutes ces raisons montrent l’engagement de la marque Manutan pour concevoir et proposer aux entreprises et aux collectivités des équipements professionnels de qualité, adaptés à leurs besoins quotidiens et à leurs exigences.

Pour découvrir tous les produits Manutan, cliquez ici.

Achats en entreprise : comment parvenir à une amélioration de la qualité et une réduction des coûts ?

Pourquoi réduire les coûts de l’entreprise ?

Les services achats ont une position clé dans l’entreprise. Cette fonction stratégique est créatrice de valeur, en plus de jouer le rôle de réduction des coûts et de gestion des risques. En travaillant main dans la main avec les fournisseurs, elle participe activement à la bonne santé de l’entreprise.

Mais pourquoi faut-il chercher à minimiser les coûts ?

Faire face aux imprévus

Ces dernières années l’ont prouvé : quel que soit son chiffre d’affaires ou son domaine d’activité, une entreprise peut être touchée par une crise. Sanitaire ou financière, dans de telles circonstances, la réduction des coûts est le levier le plus efficace pour pérenniser l’avenir de l’entreprise.

Améliorer la rentabilité à court terme

Les besoins de réduction des coûts peuvent aussi venir d’une problématique interne à l’entreprise. Face à un coup dur, les dépenses doivent être rapidement revues à la baisse, voire stoppées. À court terme, cela permet de limiter les difficultés, puis, petit à petit, de faire remonter les résultats financiers de l’entreprise

Pérenniser l’entreprise sur le long terme

Même hors situation de crise, l’entreprise doit prêter attention à ses dépenses. Pour générer du profit et se développer, il lui faut penser sur le long terme. Surveiller les coûts a pour effet de rester compétitif face à une concurrence toujours grandissante.

Comment réduire les coûts de l’entreprise et améliorer la qualité des produits ?

Vouloir faire des économies est logique et nécessaire pour une entreprise. Il en va de sa rentabilité. Mais cela ne doit pas affecter la performance des produits dont elle a besoin. En effet, de mauvais choix en matière d’équipements auront une répercussion sur la production, sur le bien-être des collaborateurs, sur l’environnement et, par extension, sur les bénéfices de la société.

Alors, comment faire pour que la réduction des coûts ne nuise pas à la qualité ?

Comprendre les besoins

Prendre le temps d’analyser et de bien comprendre ses besoins réels est la clé pour éviter les erreurs d’achat. Les produits ne répondant pas totalement aux contraintes transitent, arrivent à destination et repartent aussitôt. Le renvoi de la marchandise est une perte importante de temps et d’argent pour l’entreprise. Cibler précisément les besoins est donc primordial avant de passer aux achats. Établir un contact direct avec les principaux intéressés permet de mieux appréhender les exigences.

Mettre en place des indicateurs de performance

Les indicateurs de performance sont une source précieuse d’information pour la prise de décision. Parmi eux, on peut citer le ROI (Return On Investment – retour sur investissement). En effet, la pertinence d’un achat ne peut être correctement évaluée sans prendre en compte cet indicateur. La qualité des produits entrant directement dans la productivité de l’entreprise ne doit pas être négligée.

Penser sur le long terme

Les produits d’entrée de gamme, peu onéreux, ne présentent souvent pas les caractéristiques requises pour durer dans le temps. Si le jour de l’achat, la facture affiche un montant peu important, les dépenses à long terme seront, elles, élevées. En effet, un produit à la durée de vie courte devra être remplacé plus souvent. Son renouvellement se fera donc bien plus tôt que prévu et cela s’en ressent sur le coût final.

Choisir la fiabilité et la durabilité est bien plus pertinent. Chez Manutan, la performance s’accorde avec la réduction des coûts. Nos produits sont garantis 10 ans et affichent un excellent rapport qualité/prix.

Acheter la quantité juste

Passer commande en grosse quantité réduit les coûts grâce aux prix dégressifs, profitez-en ! Toutefois, les besoins doivent être correctement évalués afin d’éviter les stocks dormants. Le surstockage est une perte pour l’entreprise. Une bonne gestion des stocks est donc nécessaire.

Choisir les bons fournisseurs

Les fournisseurs sont aujourd’hui de vrais partenaires de l’entreprise, apportant une forte valeur ajoutée. Pour une bonne gestion des risques, privilégiez des fournisseurs de confiance, dont la qualité des services sait répondre à vos besoins, comme le respect des délais de livraison. Si ceux-ci ne sont pas honorés, c’est la production de votre entreprise qui en fera les frais.

Réduire le nombre de fournisseurs permet de diminuer les coûts de gestion et de favoriser un contact privilégié entre vous et votre prestataire. À travers son aide personnalisée et ses conseils, votre fournisseur est alors en mesure de vous proposer des offres parfaitement adaptées à vos besoins.

L’amélioration de la qualité des achats en entreprise

Les achats de l’entreprise peuvent fortement peser dans la balance budgétaire. Réduire les dépenses et améliorer la qualité est un objectif tout à fait réaliste, quels que soient les services concernés. Par ailleurs, les retombées positives d’une démarche d’approvisionnement qui tient compte du rapport qualité/prix sont nombreuses

La qualité des produits

Un produit cher n’est pas forcément plus fiable. Une marque distributeur, moins onéreuse qu’une marque premium, offre plusieurs avantages :

  • Elle présente un rapport qualité/prix bien supérieur ;
  • Elle participe à la réduction des coûts avec des produits robustes, fiables et durables.

Les entreprises privilégiant ce choix font des économies tout en bénéficiant d’équipements de qualité.

L’amélioration de la performance

Travailler avec des produits fiables et durables permet aux collaborateurs d’exercer leur activité dans de meilleures conditions. Leur bien-être au quotidien s’en ressent, ce qui a un effet positif sur leur performance. Le chiffre d’affaires de l’entreprise suit logiquement.

Chez Manutan, nous avons développé notre propre gamme pour vous offrir le meilleur rapport qualité/prix. Découvrez 5 bonnes raisons de choisir la marque Manutan !

La responsabilité sociale de l’entreprise

Opter pour une consommation durable s’inscrit directement dans les objectifs RSE. Choisir des produits qui durent dans le temps évite d’avoir recours à de nouvelles ressources.

De plus, en privilégiant des fournisseurs européens, la chaîne d’approvisionnement se réduit, ce qui la rend beaucoup plus verte et impacte positivement l’environnement.

La marque Manutan, des produits au processus qualité intransigeant

Pour garantir un haut niveau de qualité au sein de la marque Manutan, un processus strict est appliqué à l’ensemble des références. Un tel niveau d’exigence permet d’offrir une politique unique sur le marché : 10 ans de garantie sur tous les produits et 3 ans sur les consommables. Thibault Brauge, responsable assurance qualité fournisseur au sein du groupe Manutan, explique comment la qualité fait partie intégrante du processus de référencement de la marque Manutan.

Pourriez-vous, s’il vous plaît, nous dire quelques mots sur votre parcours ?

Thibault Brauge : J’ai plus de 20 ans d’expérience dans la qualité produits. Avant de rejoindre le groupe Manutan, j’ai travaillé pour la grande distribution Business-to-Customer et pour des centrales d’achats internationales. J’ai notamment passé beaucoup de temps en Chine où je m’assurais de la qualité des produits fabriqués sur place. Ce fut un beau challenge !

Fort d’une méthode éprouvée, de formations et d’un réseau international de prestataires, je mets aujourd’hui mes compétences au service des clients du groupe Manutan. En tant que responsable assurance qualité fournisseur, je suis garant de la qualité de l’ensemble des produits de la marque Manutan, allant du bureau à l’entrepôt, en passant par les fournitures industrielles et l’outillage, l’emballage, la sécurité, l’hygiène, l’espace extérieur et, enfin, la restauration.

Comment est contrôlée la qualité des produits de la marque Manutan ?

T.B. : Avec sa marque de distributeur, Manutan a la même responsabilité qu’un fabricant. Pour garantir un bon niveau de qualité, j’interviens tout au long du cycle de vie des produits :

  • En amont, en analysant les produits avant tout référencement ;
  • En aval, en m’appuyant sur les données du service après-vente (taux de casse, satisfaction globale, etc.).

Pour s’inscrire dans une véritable démarche d’amélioration continue, l’amont constitue une étape primordiale. Après avoir identifié et fait une cartographie du fournisseur et du produit que l’on envisage de référencer, on va notamment :

  • Déterminer la cible produit, c’est-à-dire un produit qui nous sert de point de référence en matière de qualité ;
  • Collecter l’échantillon produit et la documentation (documentation réglementaire, manuel d’instruction, certifications et labels, etc.) ;
  • Analyser ce produit à travers des essais internes et externes, ainsi que la liasse documentaire.

Après la définition de ces éléments, je rédige un rapport complet sur le produit évalué. Celui-ci passe alors en commission avec les achats, les chefs de produit, la responsable de la marque Manutan et moi-même. Ensemble, nous décidons si le produit est éligible à la marque Manutan et si nous pouvons finalement le référencer.

En résumé, mon travail se divise en plusieurs missions, qui vont de la gestion des tests au management des produits (de l’entrée à la sortie de nos locaux) pour garantir le bon pilotage de la chaîne qualité.

À quoi ressemblent les essais produits en interne  ?

T.B. : En interne, les essais produits sont réalisés par mes soins. Je procède au cas par cas selon le produit et ses caractéristiques. Cela signifie que, pour chaque référence, j’imagine de nouveaux tests et je compare mon échantillon avec le produit cible préalablement sélectionné.

Cette étape permet de vérifier des critères élémentaires :

  • La propreté : est-ce que le produit est propre ? Est-ce que les finitions sont soignées ? Est-ce qu’il y a des traces de moule sur les pièces en plastique ? Est-ce que l’emballage est bien fait ?
  • Le montage : est-ce que le produit est facile à monter ? Est-ce que le rendu final est satisfaisant, sur le plan esthétique et fonctionnel ?
  • La robustesse : est-ce que mon produit peut supporter des charges lourdes ? Des chocs ?
  • La sécurité : est-ce que la santé et la sécurité de l’utilisateur sont assurées tout au long du cycle de vie du produit ?

La clé est de se mettre à la place de l’utilisateur. Avec mes outils, j’essaie de reproduire tous les types d’usage et je vérifie la composition du produit jusque dans ses moindres détails. À titre d’exemple, pour un bureau, je peux utiliser des poids et un maillet pour simuler la pose de produits lourds et même quelques chocs qui peuvent vite arriver dans la vie de tous les jours.

Dernièrement, pour un marchepied, je suis même allé jusqu’à découper le produit en deux pour vérifier les matériaux intérieurs des tampons et comprendre comment étaient fixés les pieds ! Pour un tel produit, il est indispensable de garantir l’équilibre et la solidité.

D’ailleurs, tous les produits Manutan y compris l’outillage sont certifiés FEVAD, double certification HQE (Haute Qualité Environnementale), ISO 9001 et Ecovadis.

Dans quels cas faites-vous appel à des laboratoires externes ?

T.B. : Lorsque je ressens le besoin de réaliser des essais complémentaires ou bien lorsque je manque de moyens techniques pour évaluer un produit, je missionne mon réseau de prestataires. Selon la nature de l’essai nécessaire (mécanique, électrique, etc.), je vais m’adresser à un laboratoire en particulier pour qu’il me propose des protocoles d’essais et qu’il mette en œuvre celui retenu.

Le dernier exemple en date concerne un bureau électrique. Notre problématique était de nous assurer que le système électrique pouvait fonctionner pendant 10 ans, comme l’assure notre garantie. Après avoir procédé aux tests élémentaires en interne, j’ai mandaté un prestataire pour tester la durée de vie du produit, en conditions réelles. Nous avons donc placé le produit dans une étuve à 45 °C, avec un certain taux d’humidité. Puis, nous avons simulé 10 années d’utilisation, par cycles concentrés, avec un poids d’une soixantaine de kilos sur la table !

C’est grâce à ce processus qualité intransigeant qui combine une sélection rigoureuse de nos fournisseurs et une analyse complète des références que nous pouvons garantir les produits de la marque Manutan pendant 10 ans.

Découvrez ici la gamme de produits de la marque Manutan !

Livre blanc : Comment inclure la RSE au cœur de la politique achat de votre entreprise ?

L’essor de la RSE

La Commission européenne définit la RSE comme « l’intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leurs relations avec les parties prenantes. ». L’adoption de cette démarche est aujourd’hui essentielle pour le développement et la pérennisation des entreprises.

L’intégration de la RSE se fait, d’abord et avant tout, à travers un poste stratégique de l’entreprise : les services achat. En effet, la chaîne d’approvisionnement est une véritable vitrine des engagements pris. Elle est responsable de 50 à 70 % de l’impact environnemental et sociétal de l’entreprise. Il est donc primordial de revoir son processus d’achat et d’y intégrer la RSE.

En fonction des actions entreprises, la RSE permet de changer petit à petit les mentalités afin de progresser vers des achats globalement plus responsables et moins nocifs pour l’environnement.

Comment mettre en place une politique d’achat responsable ?

Afin de mener une politique d’achat responsable, il convient d’inclure la RSE dans sa stratégie. Pour ce faire, l’entreprise peut agir sur plusieurs facteurs, plus ou moins importants pour elle, mais tous impactants sur le plan sociétal et environnemental.

Réduire l’impact environnemental

L’environnement est une préoccupation majeure à l’heure actuelle. C’est pour cette raison que les entreprises doivent, elles aussi, agir pour réduire leur impact environnemental. Cet engagement passe par des mesures à mettre en place comme :

  • La réduction des déchets ;
  • La gestion intelligente de sa consommation d’énergie et d’eau ;
  • La diminution de son empreinte carbone ;
  • Etc.

Pour réduire l’impact de sa politique achats, l’entreprise peut également mettre en place une logistique plus verte et choisir ses fournisseurs avec soin. Elle peut alors se tourner vers l’économie circulaire, dont l’importance est amenée à croître encore davantage ces prochaines années. En effet, en octobre 2020, une étude suédoise estimait que l’économie circulaire pourrait générer jusqu’à 535 milliards d’économies au niveau européen d’ici 2030.

Pour agir sur leur impact environnemental, il peut être pertinent pour les entreprises de mettre en place une stratégie des « petits pas », en commençant notamment par privilégier un sourcing local. Outre l’aspect positif sur l’environnement, ce choix offre de nombreux avantages, dont une meilleure réactivité et un plus grand contrôle ou encore une réduction des coûts de la chaîne d’approvisionnement. Se tourner vers des produits qui portent un label RSE peut également s’avérer une solution intéressante, tout comme la rationalisation des livraisons (par exemple, à travers l’analyse du temps de trajet, la massification de commandes, ou encore de cadençage de celles-ci).

Favoriser le sourcing éthiqu

Ce volet est très important pour l’intégration de la RSE dans la politique d’achat de l’entreprise. Il porte en effet sur l’aspect humain : le respect des droits de l’homme, l’égalité homme/femme, la prise en compte des besoins de chacun, etc.

Le sourcing éthique a donc un impact sur la dignité humaine et le respect des droits des travailleurs qui couvrent de nombreux aspects (santé et sécurité, inclusion, conditions de travail…). L’entreprise partenaire prouve ainsi qu’elle se préoccupe du bien-être au travail.

Nombreuses sont les entreprises qui, soucieuses de leur impact global et de leur image, tiennent compte des pratiques éthiques des fournisseurs au moment de sélectionner leurs futurs partenaires. Elles étudient leurs performances, mais elles s’attachent également à identifier et rectifier toute pratique qui pourrait aller à cette encontre.

Les engagements de Manutan

Mettre en place un programme d’achats responsables nécessite d’entretenir une collaboration étroite avec ses fournisseurs. En effet, pour que l’engagement responsable de l’entreprise soit viable, il est indispensable que ses fournisseurs partagent les mêmes valeurs, notamment en ce qui concerne l’élaboration et l’application d’une stratégie RSE efficace.

Chez Manutan, en tant qu’entreprise engagée pour le développement durable, cette démarche RSE se traduit notamment par la mise en œuvre de plusieurs actions :

  • Limiter les émissions carbone ;
  • Consommer plus responsable ;
  • Favoriser le bien-être au travail ;
  • S’engager pour l’inclusion.

Parce qu’il est dans l’intérêt de toutes les entreprises de tenir compte des enjeux RSE, Manutan les accompagne en leur proposant une offre de produits responsables qui participent au bien-être des collaborateurs.

Les professionnels qui font appel aux services de Manutan bénéficient également de conseils avisés concernant les différentes stratégies qu’il est possible de déployer, notamment les bonnes pratiques à mettre en place pour une politique achat à la fois performante et responsable.

Pour aider les entreprises à y voir plus clair, Manutan a conçu un livre blanc qui met en avant la corrélation entre démarche RSE et politique achats efficace. La lecture de ce livre blanc permettra également aux professionnels d’en savoir plus sur la manière d’inclure cette démarche RSE au sein de leur stratégie achat afin de développer leur entreprise tout en se montrant à la hauteur des préoccupations écologiques et sociétales actuelles.

Pour en savoir plus sur l’inclusion de la RSE au sein de la politique achats de l’entreprise, téléchargez notre livre blanc « Politique achats et RSE ».

Achats responsables : vers de nouvelles relations avec vos fournisseurs ?

Des normes internationales qui balisent la relation fournisseur

Si ce baromètre concerne avant tout les entreprises françaises, il n’en illustre pas moins une tendance générale, observable sur le marché mondial. C’est d’ailleurs tout l’enjeu des normes internationales ISO 26000, dédiée à la responsabilité sociétale des entreprises, et plus spécifiquement de la norme ISO 20400, créée en 2017 en prolongement de la norme précédente.

En plus de certifier la mise en œuvre d’une politique d’achats responsables, la norme ISO 20400 vise à permettre aux entreprises et organisations de toutes tailles, issues du secteur public comme du secteur privé, d’engager l’ensemble de leurs fournisseurs au-delà du rang 1 dans une démarche analogue. En effet, dès lors que les organisations commencent à considérer la durabilité lors de leurs décisions d’achat, elles influencent l’ensemble de leur chaîne d’approvisionnement vers des pratiques plus responsables. Les entreprises soucieuses d’améliorer leurs performances RSE à travers une démarche d’achat responsable ne peuvent en effet y parvenir sans se préoccuper de l’ensemble des acteurs de leur supply chain.

De fait, à travers ces normes, les entreprises sont encouragées à faire évoluer la relation qu’elles entretiennent avec leurs fournisseurs. L’objectif clairement affiché consiste à favoriser le développement de relations partenariales entre donneurs d’ordre et fournisseurs, dans un rapport gagnant/gagnant et dans le souci du développement durable, de l’éthique et de la préservation de l’environnement.

Vers une nouvelle cartographie du risque fournisseur

L’enjeu aujourd’hui n’est plus seulement de permettre aux acheteurs de baser leurs décisions d’achat sur le seul critère du prix et de la délivrabilité du produit,  mais sur l’ensemble du coût de cycle de vie. Il convient donc de tenir également compte des coûts d’utilisation, d’acquisition et de fin de vie, afin de déterminer le « coût total de possession », ce qui inclut, outre les risques et bénéfices qu’il induit pour l’entreprise, l’impact environnemental, sociétal et social des conditions de fabrication et d’utilisation du produit en question. De fait, il importe d’établir une nouvelle cartographie du risque fournisseur basée sur des critères RSE.

4 thématiques majeures peuvent encadrer le suivi RSE des fournisseurs :

  • La gestion environnementale de l’ensemble du processus de conception et de fabrication des produits.
  • Les conditions de travail, en particulier le respect des droits de l’homme fondamentaux, l’absence de discrimination, l’interdiction du travail des enfants et le respect des règles de sécurité.
  • La dimension éthique de l’activité, notamment l’absence de corruption, le respect des règles de la concurrence et le suivi de règles de marketing responsable.
  • Le suivi élargi des fournisseurs de rang 2 et 3 afin de veiller à ce que les règles de l’achat responsable s’appliquent à tous.

Du devoir d’exemplarité…

Dans une récente étude consacrée aux relations entre clients et fournisseurs dans le cadre de la RSE, le cabinet PWC signale que plus de 70 % des fournisseurs sont régulièrement sollicités par leurs clients sur les sujets de RSE, en particulier au moment des appels d’offres. Dans leur grande majorité (61%), les fournisseurs considèrent d’ailleurs que les demandes RSE de leurs clients les conduisent à améliorer leur offre et peuvent représenter une source de nouvelles opportunités.

Cet intérêt marqué de la part de leurs clients encourage les fournisseurs à mettre eux aussi en place des systèmes de contrôle de la performance RSE de leurs propres fournisseurs. Ils réclament en revanche une plus grande implication de la part des grands donneurs d’ordre pour les aider à mieux valoriser leurs propres performances RSE au travers des prix de vente de leurs produits et services.

Certes, près de la moitié (49 %) des fournisseurs expliquent avoir observé ces dernières années des améliorations dans la relation donneurs d’ordre/fournisseurs. Ils regrettent malgré tout que les demandes RSE des plus grands acteurs n’entrent pas toujours en cohérence avec leurs pratiques, notamment en termes de pression sur les prix ou de délais de paiement. Le déséquilibre des clauses contractuelles et les modifications unilatérales de contrat sont également identifiés comme des axes de progrès.

De manière générale, une demande d’accompagnement renforcé est exprimée. Cet accompagnement peut prendre les formes suivantes :

  • Définition d’un plan d’action commun entre donneurs d’ordre et fournisseurs.
  • Mise en place de réunions de suivi de ce plan d’action.
  • Tenue d’ateliers de formation dédiés à la RSE.
  • Mise en relation et actions de réseautage afin de mutualiser les efforts dédiés à la RSE.
  • Mesures d’incitation et de compensation.
  • Accompagnement financier.

Les fournisseurs appellent également à plus de transparence de la part des donneurs d’ordre. Ils souhaitent par exemple que la pondération des critères RSE soit communiquée lors des appels d’offres, ou que les retours clients aux réponses RSE apportées lors de ces appels d’offres soient plus nombreux. De manière générale, les fournisseurs attendent que leurs clients adoptent eux aussi une posture d’exemplarité.

…au devoir de vigilance

L’étude de PWC porte avant tout sur le marché français, mais elle illustre sans aucun doute de grandes tendances générales, qui dépassent largement les frontières françaises. C’est d’ailleurs en France qu’un devoir de vigilance a été introduit dans la loi en février 2017 pour toutes les entreprises françaises de plus de 5000 salariés et toutes les entreprises qui comptent plus de 10 000 salariés en France, mais dont le siège social est situé en dehors de l’hexagone. Ce devoir de vigilance vise à prévenir les risques environnementaux, mais aussi les risques liés aux droits humains ou à la corruption et susceptibles de peser sur l’ensemble de leurs activités, ainsi que sur celles de leurs filiales, en France comme à l’étranger.

Les eurodéputés envisagent d’ailleurs de suivre l’exemple français et d’étendre le devoir de vigilance à l’ensemble des entreprises européennes. L’objectif est d’engager la responsabilité des entreprises dont les fournisseurs se montreraient peu scrupuleux du respect des droits humains, sociaux et environnementaux.

Définition, outils et avantages du Lean Management

La définition du Lean Management

Inspiré du système de production de Toyota, le Lean Management est une méthode de gestion et d’organisation du travail qui vise à améliorer les performances d’une entreprise et, plus particulièrement, la qualité et la rentabilité de sa production.

Le Lean Management optimise les processus en réduisant les temps sans valeur ajoutée (opération ou transport inutile, attente, surproduction, etc.), les causes de non-qualité et la complexité. Cette méthode est portée par une dimension managériale importante qui permet aux collaborateurs de travailler dans les meilleures conditions. In fine, deux objectifs principaux sont visés : la satisfaction complète des clients et le succès de chaque salarié.

Formalisé par des chercheurs américains du Massachussets Institute of Technology (MIT), le Lean Management est une expression anglo-saxonne dont le mot principal est évocateur. « Lean » signifie en effet « sans superflu ». Cela fait écho à l’idée de réduire quelque chose à l’essentiel, à supprimer l’inutile, qui est aux fondements de la méthode.

Les origines du Lean Management

À la fin des années 1940, lorsque Toyota a posé les bases du « Lean Manufacturing », l’objectif était de réduire les processus qui n’apportaient pas de valeur au produit final.

Ce faisant, les dirigeants ont réussi à obtenir des améliorations significatives en termes de productivité, d’efficacité, de temps de cycle et de rentabilité.

Grâce à cet impact notable, la pensée Lean s’est répandue dans de nombreuses industries et a évolué vers 5 principes de base de la gestion Lean tels que décrits par le Lean Management Institute.

En effet, le terme « Lean » a été inventé par John Krafcik (actuellement PDG du projet de voiture autonome de Google, Waymo) dans son article de 1988 intitulé « Triumph of the Lean Production System ».

Quels sont les 5 principes de base du Lean Management ?

Pour mettre en place le Lean Management de manière efficace au sein de l’entreprise, il convient de s’appuyer sur les 5 principes de base de cette méthode.

1. . Identifier la valeur

Que s’efforce de faire toute entreprise ? Offrir un produit ou un service pour lequel un client est prêt à payer. Pour cela, elle doit ajouter à son offre une valeur définie par les besoins de ses clients.

La valeur de votre offre réside donc dans la capacité de votre entreprise à résoudre le problème du client et, plus précisément, dans la partie de la solution pour laquelle le client est activement disposé à payer. Tout autre activité ou processus qui n’apporte pas de valeur au produit final est considéré comme du gaspillage.

C’est pourquoi vous devrez d’abord identifier la valeur que vous souhaitez apporter à votre offre, puis la définir très clairement. Cette première étape vous aidera à passer à la deuxième plus facilement.

2. Cartographier la chaîne de valeur

C’est à ce stade que vous devrez littéralement cartographier le flux de travail de votre entreprise. Il faudra inclure toutes les actions et les personnes impliquées dans la livraison du produit final au client. En procédant ainsi, vous serez en mesure d’identifier les étapes du processus qui n’apportent aucune valeur.

L’application de ce principe vous montrera où la valeur est générée et dans quelle proportion les différentes étapes du processus produisent ou non de la valeur.

Lorsque vous aurez cartographié votre chaîne de valeur, il vous sera beaucoup plus facile de voir quels processus appartiennent à quelles équipes et qui est responsable de la mesure, de l’évaluation et de l’amélioration de chaque processus. Cette vision d’ensemble vous permettra de détecter les étapes qui n’apportent pas de valeur et de les éliminer.

3. Créer un flux de travail continu

Après avoir maîtrisé votre chaîne de valeur, vous devrez vous assurer que le flux de travail de chaque équipe reste fluide. Cela peut prendre un certain temps.

Le développement d’un produit ou service implique souvent un travail d’équipe interfonctionnel. Des goulots d’étranglement et des interruptions peuvent apparaître à tout moment. Toutefois, en divisant les tâches en lots plus petits et en visualisant le flux de travail, vous pourrez facilement détecter et éliminer les obstacles au processus.

4. Créez un système de traction

La stabilité du flux de travail permet à vos équipes d’exécuter leurs tâches beaucoup plus rapidement et avec moins d’efforts. Toutefois, afin de garantir cette stabilité, il faudra veiller à créer un système de traction dans le cadre de la méthodologie Lean.

Dans un tel système, le travail n’est produit qu’en cas de demande. Ainsi, la capacité des ressources est optimisée : celles-ci ne sont mobilisées que s’il s’agit de répondre à un besoin réel et concret.

Prenons la métaphore d’un restaurant. Vous vous y rendez et passez commande. Le restaurateur prend votre commande et commence à préparer votre repas. Il ne cuisine pas une grande quantité de plats à l’avance, car il n’y a pas de demande réelle et ces plats potentiellement superflus peuvent se transformer en un gaspillage de ressources.

5. L’amélioration continue

Une fois toutes les étapes précédentes franchies, vous avez construit votre système de Lean Management. Cependant, ne manquez pas de prêter attention à cette dernière étape, sans doute la plus importante.

N’oubliez pas que votre système n’est pas isolé et statique. Des problèmes peuvent survenir à n’importe laquelle des étapes précédentes. C’est pourquoi vous devrez vous assurer que les employés à tous les niveaux sont impliqués dans l’amélioration continue du processus.

Il existe plusieurs techniques pour encourager l’amélioration continue. Par exemple, chaque équipe peut tenir une réunion quotidienne pour discuter de ce qui a été fait, de ce qu’il reste à faire et des obstacles éventuels — un moyen facile d’optimiser chaque jour le processus.

La popularité croissante des principes Lean vient du fait qu’ils se concentrent sur l’amélioration de tous les aspects d’un processus de travail et impliquent tous les niveaux de la hiérarchie d’une entreprise.

Les différents outils du Lean Management

Les outils Lean sont souvent décrits comme des solutions d’apprentissage et d’expérimentation. Le personnel se les approprie et collabore, dans une démarche d’amélioration continue.

Il existe une multitude d’outils à disposition, en voici quelques exemples :

●     La méthode 5S (débarrasser, ranger, nettoyer, ordonner et être rigoureux) pour optimiser l’environnement de travail et réduire les gaspillages de temps ;

●        La méthode Six Sigma pour améliorer la qualité et l’efficacité des processus ;

●        Le management visuel pour partager l’information et résoudre les problèmes ;

●        La méthode Kaizen pour perfectionner continuellement les processus ;

●        La méthode SMED pour réduire le temps de changement de série ;

●        La méthode Kanban pour optimiser la gestion des stocks ;

●        La méthode Value Stream Mapping (VSM) pour analyser les processus et identifier les freins.

Bien qu’il soit apparu au sein de l’industrie automobile, le Lean Management est désormais déployé partout, quels que soient le secteur ou la taille de l’entreprise. Ce concept est d’ailleurs souvent décliné, comme c’est le cas avec le Lean Purchasing, qui vise l’excellence opérationnelle des services achats.

Les avantages du Lean Management

Il existe des avantages majeurs que les managers pourront observer en mettant en place les méthodes de Lean Management :

●        La concentration : en appliquant la méthodologie Lean, vous serez en mesure de réduire le gaspillage. Par conséquent, votre personnel se concentrera sur les activités qui apportent réellement de la valeur.

●        L’amélioration de la productivité et de l’efficacité : les employés qui se consacrent à la création de valeur pourront se montrer plus productifs et efficaces, car ils ne seront pas distraits par des tâches peu claires.

●        Un processus plus intelligent : en établissant un système de traction, vous serez en mesure de fournir du travail uniquement s’il y a une demande réelle.

●        Une meilleure utilisation des ressources : en basant votre production sur la demande réelle, vous ne pourrez utiliser que les ressources nécessaires, ce qui évitera tout gaspillage.

En conséquence, votre entreprise et votre équipe deviendront bien plus flexibles et capables de répondre aux exigences des consommateurs beaucoup plus rapidement. Les principes du Lean Management vous permettront de créer un système de production stable, qui améliorera les performances globales de votre entreprise.

Le métier de l’acheteur indirect

L’acheteur indirect collabore en effet avec de plus en plus de catégories et de fournisseurs. Le rôle de ce professionnel de l’achat est d’éradiquer les dépenses sauvages disséminées au sein de l’entreprise et de renforcer ses liens avec les nombreuses parties prenantes. Pour mieux comprendre le poste d’acheteur indirect, cette fiche métier fait le point sur ses missions, ses leviers d’action et ses compétences.

En quoi consistent les achats indirects ?

Les achats indirects participent au bon fonctionnement de l’entreprise. Il peut s’agir de produits, de fournitures ou de consommables nécessaires au déroulement de l’activité. Ce type d’achats est à opposer aux achats directs, dits « de production » ou « de stratégie ».

Longtemps négligés, les achats indirects sont aujourd’hui devenus stratégiques. En effet, la maîtrise des dépenses et la réduction des coûts indirects sur cette catégorie d’achats constituent de formidables leviers pour améliorer la marge ou adapter la structure de coûts des entreprises à leur contexte économique.

À ce titre, les entreprises ont revu leur organisation achat. Selon une étude publiée en 2019 et menée conjointement par Acxias et Ressource Consulting, près de 3/4 des entreprises sont désormais dotées d’une direction achats indirects (contre 61 % en 2017 et 44 % en 2016). Cependant, l’importance donnée à cette catégorie d’achat varie beaucoup selon les entreprises. Non prioritaires dans certains cas, les achats indirects font de plus en plus l’objet d’actions d’optimisation et sont même parfois gérés selon les mêmes méthodes que les achats stratégiques.

Quelles sont les missions d’un acheteur indirect ?

Rôle aux multiples casquettes, l’acheteur indirect assume cinq missions majeures, inhérentes aux achats, mais avec ses propres leviers d’actions.

Réduire les coûts

Les économies étant indissociables de la fonction, les acheteurs indirects s’attachent notamment à optimiser le Coût Total d’Acquisition de leurs achats, à s’assurer du bon déploiement des contrats et à supprimer les achats sauvages.

Diffuser l’innovation et la transformation de l’entreprise

La digitalisation du métier et de ses processus est une véritable priorité. Grâce à une solution e-achat performante, les acheteurs indirects peuvent atténuer certaines de leurs difficultés (charge de gestion trop importante, manque de visibilité sur les dépenses…). La contrepartie est qu’ils doivent aussi accompagner le directeur du service pour qu’il s’approprie ces outils. Les acheteurs indirects jouent également le rôle de capteurs d’innovation, notamment à travers leurs relations fournisseurs. Ils veillent et conseillent des solutions innovantes permettant de répondre aux besoins de leurs clients internes.

Animer un véritable écosystème

Les acheteurs indirects se positionnent comme de réels partenaires pour leurs parties prenantes. Ils doivent impliquer et faire adhérer les clients internes, tout en développant leurs relations fournisseurs avec une vision long terme. D’ailleurs, d’après l’étude réalisée par Acxias et Ressource Consulting, la satisfaction des utilisateurs et les relations fournisseurs font partie des principaux critères de performance des acheteurs indirects.

Contribuer à la RSE

La Responsabilité Sociétale des Entreprises est devenue un élément différenciant à tout point de vue, pour les clients comme pour les partenaires. Dès lors, les acheteurs indirects ont un rôle clé à jouer, notamment au niveau européen à travers le Made in Europe. Cet engagement à une échelle plus réduite permet de baisser les coûts tout en favorisant l’emploi et l’économie en local. L’un des leviers est alors d’intégrer certains critères RSE dans la politique achats et de les faire coïncider avec les objectifs business.

Gérer les risques

Les acheteurs indirects doivent s’adapter à un environnement réglementaire de plus en plus contraignant. Les risques fournisseurs sont d’autant plus présents qu’ils gèrent un large portefeuille et de nombreuses transactions. Pour cela, ils doivent travailler de concert avec le service juridique et se montrer vigilants face aux risques fournisseurs, tout au long du cycle de vie des contrats.

La collaboration est au cœur du métier, car l’acheteur indirect interagit avec un large écosystème : directions métiers, direction générale, fournisseurs, etc. Ce n’est pas par hasard qu’on le surnomme aujourd’hui le « business partner » !

Comment devenir acheteur indirect ?

Les équipes achats indirects gèrent une multitude de catégories produits, de fournisseurs et de clients internes. C’est d’ailleurs l’une des principales caractéristiques qui distinguent cette fonction des achats stratégiques : elle interagit avec un grand nombre de parties prenantes. Si certaines compétences restent inhérentes à l’univers des achats (la négociation, par exemple), l’acheteur indirect doit développer des savoir-faire et savoir-être spécifiques pour réussir sa mission.

Les études pour un recrutement sur un poste d’acheteur indirect

Avant de postuler aux offres d’emploi pour une position d’acheteur indirect, les candidats ont, en général, suivi des études en école de commerce. Lors de la phase de recrutement, ils peuvent évoquer leurs connaissances en gestion d’achats indirects acquises lors de projets. Une expérience dans le commerce comme acheteur production autodidacte peut également être un atout afin de décrocher le poste et de négocier son salaire.

Savoir-faire : les forces et faiblesses

À l’occasion du ProcureCon Indirect Europe de 2019, les acheteurs indirects ont fait le bilan de leurs compétences. S’ils ont estimé maîtriser la logistique et la gestion de leurs catégories produits et de leurs fournisseurs, ils ont cependant pensé avoir une marge de progression sur la gestion des parties prenantes ainsi que sur les achats durables et responsables. Quant à la gestion des risques, les résultats étaient ambigus, très probablement parce que l’environnement réglementaire et les risques évoluent continuellement, ce qui requiert une vigilance de chaque instant.

Savoir-être : les indispensables

Sans aucun doute, les compétences relationnelles, à l’intersection entre intelligence émotionnelle et sociale, sont les prérequis de la fonction achats indirects avec trois maîtres mots.

1. Connaître

Francis Bacon disait que le vrai pouvoir, c’est la connaissance.

Cette citation s’applique parfaitement à l’univers des achats. Afin de répondre aux besoins de ses clients internes, l’acheteur indirect doit certes connaître son entreprise, les directions métiers, les collaborateurs et leurs besoins, mais pas seulement. Pour apporter de la valeur ajoutée, il doit également être à l’écoute de son environnement, de ses fournisseurs et des innovations pour créer des opportunités. Sa relation avec les collaborateurs se construit ainsi dans le temps pour améliorer l’efficacité de ses actions.

Les qualités comportementales : curiosité et adaptabilité

2. Communiquer

Pour tisser des liens avec ses parties prenantes, l’acheteur indirect doit pouvoir traduire les informations clés qu’il détient (dépenses, risques…) en un langage accessible et digeste pour tous. La difficulté est qu’il s’adresse à des interlocuteurs extrêmement variés : utilisateurs et décideurs, aux cultures et niveaux hiérarchiques différents !

Les qualités comportementales : écoute active, empathie et transparence

3. Collaborer

Écouter, échanger et réfléchir avec les parties prenantes est essentiel pour construire des relations de confiance, obtenir l’adhésion de son écosystème et ainsi créer de la valeur. Essayez de changer les supports informatiques ou logiciels largement répandus dans l’entreprise (type système de messagerie) sans consulter les équipes informatiques ou même les utilisateurs finaux ! Cette démarche serait vouée à l’échec.

Les qualités comportementales : sens du contact, leadership, diplomatie et pédagogie

Ces savoir-être font, de plus en plus souvent, partie intégrante des programmes de formation. Gordon Crichton, Directeur du MAI (Management des Achats Internationaux et Innovation) est de cet avis : « Dans la mesure où la fonction achats est de plus en plus intégrée en amont pour faire partie du “big picture” aux côtés de la R&D ou du marketing, le développement des compétences relationnelles est la clé de la réussite des projets. »

Entre médiateur et influenceur de son écosystème, l’acheteur indirect devient un véritable « business partner ». Comme le rappelle Nathalie Merminod, Maître de conférences de l’IAE (Institut d’Administration des Entreprises) de Grenoble dans son article Nouveaux rôles et profils de compétences des acheteurs : « Le succès voire la performance achats dépend de sa capacité à manager ses relations ». Aux achats indirects, l’heure du collaboratif a sonné !

Distributeurs : comment optimiser votre gestion de fournisseurs ?

Le suivi de l’évolution des gammes est alors primordial, l’objectif étant de toujours disposer d’une offre à jour et innovante. Parallèlement, il est essentiel de garantir la qualité et la disponibilité de chacun des produits ou services ainsi que l’accès à l’ensemble des documents nécessaires (certificat, documentation technique, garantie…).

Pour répondre à ces enjeux, Manutan préconise une organisation achats qui s’appuie sur trois piliers indispensables pour une gestion des fournisseurs efficace.

1. La gestion de fournisseurs améliorée avec un « sourcing » performant

La gestion des fournisseurs repose sur l’ensemble des actions mises en place pour garantir la performance de l’entreprise et la ponctualité des livraisons. Une gestion efficace assure le maintien d’une relation saine entre l’entreprise et ses fournisseurs avec pour objectif la satisfaction des clients. Les solutions pour une gestion optimale prennent racine dès la recherche de partenaires.

L’origine et la conformité des produits sont des critères essentiels. Pour les produits de marque, c’est aussi l’assurance qu’ils sont directement fournis par le fabricant et qu’il n’y a donc pas de contrefaçon. Les informations collectées en amont de la signature des contrats fournisseurs permettent d’être certain de proposer à ses clients les meilleurs produits répondant aux normes afin d’éviter au maximum les risques de clients insatisfaits par la suite.

Pour s’assurer de la qualité des produits, un processus de contrôle doit être mis en place, comprenant notamment une vérification systématique de sortie de chacune des livraisons, mais aussi un audit des usines de production. C’est la meilleure solution pour obtenir un taux de qualité constant, quelle que soit l’origine des produits.

2. La mise en place d’un SRM[1] innovant alliant efficacité et prévention des risques

Les trois principaux objectifs pour un fournisseur de classe C sont :

  • Obtenir des coûts de livraison minorés ;
  • Assurer la disponibilité des produits ;
  • Respecter les dates de livraison.

Des données analysées à partir d’enquêtes réalisées sur la satisfaction des client

Une étude publiée par Sendcloud en 2020 fournit des données intéressantes : 65 % des consommateurs européens abandonnent leur panier d’achat en découvrant les frais de livraison, qu’ils estiment trop élevés. La disponibilité des produits et la tenue des délais de livraison entrent également dans les critères essentiels pour une expérience achat réussie. C’est pour répondre à ces trois enjeux majeurs qu’une grande partie de l’offre devrait être stockée et gérée dans les entrepôts du fournisseur, tandis qu’une autre partie devrait être organisée directement depuis les sites de production : il s’agit de la livraison directe fournisseur.

Cette enquête à échelle européenne apporte des informations complémentaires sur la satisfaction des clients concernant le processus de livraison. Ainsi, pour 55 % des consommateurs européens, l’impact environnemental de la livraison est important, voire très important. Ils privilégient alors les achats incluant un mode de transport éco-responsable. La gestion des partenaires — service relation — peut s’appuyer sur ces données pour élaborer un processus de livraison « green » tout en maintenant l’efficacité et la performance recherchées.

Une équipe dédiée à la relation avec les partenaires et au pilotage du plan d’amélioration continue

Pour garantir une qualité optimale des livraisons, une équipe dédiée permet de suivre l’ensemble des partenaires et de piloter le plan d’amélioration continue. La gestion de la relation avec les fournisseurs joue un rôle important dans le bon fonctionnement d’une entreprise. Par exemple, afin de gérer ses fournisseurs, Manutan organise une journée de travail avec plus de 150 fournisseurs en livraison directe et réalise un guide d’indicateurs de performance pour suivre la qualité de livraison de chacun d’entre eux. De plus, la rationalisation des fournisseurs fait partie des solutions phares de Manutan.

Le SRM intègre aussi un portail fournisseurs offrant un accès à l’ensemble des opérations (commande, livraison, retour, etc.), documents, informations et rapports d’activités nécessaires. Ainsi, cette plateforme permet de simplifier, d’accélérer et d’améliorer l’ensemble des actions réalisées avec les fournisseurs. Dans une démarche d’amélioration continue, le portail est géré par un « supplier advisionary board » (équipe projet composée de fournisseurs) en charge de donner leurs points de vue et d’exprimer leurs besoins.

Enfin, élaborer une stratégie d’amélioration de la relation fournisseurs est important dans le cadre d’une bonne gestion des fournisseurs. Pour ce faire, Manutan utilise le « Net Promoter Score[2] ». L’analyse des données et des verbatim collectés permet la mise en place de plans d’amélioration continue spécifiques pour chaque fournisseur, dans chaque pays.

3. Le « rating » des fournisseurs, une solution d’amélioration de performance

La gestion de fournisseurs nécessite également la mise en place d’un système d’évaluation de tous les fournisseurs qui s’appuie, par exemple, sur trois critères :

  • La qualité des produits ;
  • Les délais et le respect des livraisons ;
  • L’innovation.

Tandis que les deux premiers critères (qualité et livraison) permettent de définir les actions d’amélioration nécessaires pour chacun des fournisseurs, l’ensemble du système d’évaluation peut être utilisé pour identifier chaque année les « fournisseurs premium » qui offrent une qualité de prestation exceptionnelle aux clients !

Chez Manutan, cette reconnaissance comprend une combinaison d’avantages, avec notamment :

  • La mise en avant de produits à travers des opérations marketing conjointes et des communications auprès des forces de vente ;
  • Un espace dédié permettant d’avoir une visibilité totale sur les équipes Manutan (chefs de produits, équipes marketing et éditoriales, etc.) et la capacité de les contacter facilement.

Contrairement aux distributeurs, les marketplaces[3] ne peuvent pas systématiquement garantir ni l’origine ni la qualité des produits qu’elles proposent. La gestion optimale d’une offre de classe C implique l’optimisation de la gestion de fournisseurs avec des investissements sur le long terme, une organisation efficace et une réelle expertise pour proposer des produits de qualité dont l’origine est garantie, mais également une expérience d’achat et de livraison exceptionnelle et homogène.

[1] SRM = Supplier Relationship Management (gestion de la relation avec les fournisseurs)

[2] Net Promoter Score = indicateur permettant de mesurer la satisfaction et la fidélisation des clients

[3] Places de marché

La marque Manutan, votre alternative pour l’outillage au quotidien

Un positionnement à succès

Forte de plus de 450 références à l’esthétique moderne, la gamme d’outillage de la marque Manutan répond aux principaux besoins quotidiens des professionnels, qu’ils soient techniciens, opérateurs ou artisans.

Soigneusement sélectionnés et testés par nos experts, ces produits observent un processus qualité strict leur permettant ainsi d’être garantis pendant 10 ans [1]. De plus, cette gamme présente des tarifs compétitifs, allant jusqu’à 35 à 40 % en-dessous des prix du marché !

En parallèle d’un tel rapport qualité/prix, la marque Manutan offre des délais de livraisons très rapides, en moyenne inférieurs à 48h.

Tour d’horizon de la gamme d’outillage, signée Manutan

On retrouve dans cette gamme quatre grandes familles de produits :

L’OUTILLAGE À MAIN

Récemment enrichie, cette famille de produits comprend à la fois :

  • Les outils de serrage avec tous types de clés: polygonales, mixte (standard ou à cliquet), mâle, à molette, à fourche, à pipe, en croix…
  • Les outils de vissage avec des tournevis adaptés aux différentes empreintes (plat, Phillips, Torx ou encore Pozidriv) et des embouts de vissage.
  • Les différents types de pinces : universelle, coupante, multiprise, à bec plat, à bec demi-rond…
  • La martellerie et les outils de frappe: marteau, maillet, massette, chasse-goupilles, burin, enclume, pointeau, boucharde…
  • Les outils de coupe : couteau de sécurité, cutter, lames correspondantes, scie à main, cisaille…
  • L’abrasif: feuille abrasive déclinées en différents types de grain, rouleau d’atelier, brosse à main…

LES ACCESSOIRES ÉLECTROPORTATIFS

Les outils coupants et les accessoires électroportatifs pour perceuse ou meuleuse sont adaptés à tous types de matériaux : céramique, bois, métal, béton, etc. Vous retrouvez par exemple des forets, des scies, des tarauds, des fraises, des roues à lamelle, des disques à tronçonner ou à ébarber, etc.

LES INSTRUMENTS DE MESURE

La marque Manutan propose un ensemble d’outils pour mesurer la distance, le temps, la température, le poids, la vitesse ou encore l’environnement.  Cela prend la forme de mètre ruban, chronomètre, thermomètre, tachymètre, balance, micromètre, sonomètre, luxmètre, etc.

LE RANGEMENT D’OUTILS

Pour ranger ses outils, il existe différentes solutions aux volumes et fonctions variées, qui sont également commercialisées vides ou remplies avec des outils. Il y a la servante d’atelier sur roulette, la valise à outils qui résiste aux chocs, la boîte à outils verrouillable, la malette transparente, les rangements textiles légers et pratiques grâce aux nombreuses poches, le module vide en mousse prédécoupée qui peut venir compléter les précédents rangements évoqués, etc.

Vincent Devaux, Chef de Produits du groupe Manutan, ajoute : « tous ces produits sont compatibles avec les plus grandes marques, également disponibles dans notre offre. De plus, vous retrouverez ces références déclinées à l’unité ou disponibles en jeux, coffrets ou kits. Vous pouvez ainsi vous équiper intégralement en un seul clic, mais aussi remplacer un produit spécifique lorsqu’une pièce est perdue ou cassée. »

A travers cette gamme d’outillage complète, la marque Manutan renforce son positionnement de partenaire du quotidien pour les professionnels. C’est une alternative aux grandes marques qui permet aux entreprises de réaliser des économies, sans transiger sur la qualité.

[1] 3 ans pour les consommables

Gestion des activités : comment gérer le pic de fin d’année ?

Préparez-vous au rush de fin d’année

La fin de l’année constitue souvent une période de rush pour les entreprises. La majeure partie d’entre elles enregistrent leur meilleur chiffre d’affaires durant le dernier trimestre de l’année. Envie de mettre en place des techniques d’emballage plus rapides et performantes ou un système de gestion des stocks plus efficace ? Dans ce cas, faites-le en amont des fêtes de fin d’année. C’est également le moment parfait pour bien clôturer votre exercice et de vous préparer à l’année qui s’annonce.

Les activités e-commerce connaissent une croissance fulgurante, d’autant plus durant les jours qui précèdent les fêtes de fin d’année. Pour permettre à votre entreprise de croître et de répondre aux attentes de ses clients (avec les produits et services adéquats), votre priorité en qualité de responsable et de veiller à ce que tous les travailleurs soient prêts à affronter ce pic de fin d’année. Comment ? En optant pour une organisation efficace et une gestion optimale des ressources.

Une check-list pour renforcer votre gestion des activités

Êtes-vous prêt à accueillir un plus grand flux de visiteurs et d’acheteurs ? Votre stock est-il suffisant pour répondre à toutes vos commandes ? Exploitez-vous l’espace de votre entrepôt de manière optimale et disposez-vous de suffisamment de matériel d’emballage ? De quels appareils avez-vous besoin dans votre entrepôt, votre atelier ou vos bureaux ?

Ces questions vous aideront à vous préparer au rush de fin d’année. N’hésitez donc pas à réaliser une check-list couvrant tous les services, toutes les personnes et tous les produits dont vous aurez besoin pour répondre à cette demande supplémentaire. Préparez-vous de manière efficace et renforcez l’organisation de vos activités afin d’aborder le rush de fin d’année sans stress. Une astuce qui vous permettra de consolider votre gestion du temps et des activités.

Pensez à inclure ces points essentiels dans votre check-list de gestion des activités :

  • Identification de l’activité
  • Contrôle de l’activité
  • Estimation des besoins en matériel
  • Estimation des besoins en matière de stocks, de personnel, etc.

Adoptez une organisation optimale à l’aide d’un aménagement intelligent de votre entrepôt

Où conserverez-vous tous les produits et matériaux d’emballage supplémentaires ? Les espaces de stockage valent leur pesant d’or, mieux vaut donc exploiter chaque mètre cube disponible de manière optimale. Pensez donc à aménager votre entrepôt de manière efficace en définissant des itinéraires optimaux pour vos travailleurs ainsi que les biens que vous y stockez. Imaginez un aménagement ou une organisation efficace de vos rayonnages afin que tout y soit parfaitement disposé et d’éviter les ruptures de stock. Cette optimisation de l’espace est essentiellement indispensable pour les entreprises qui vendent des produits en ligne. Les fêtes de fin d’année sont souvent synonymes d’une augmentation considérable du nombre de commandes, ce qui influence votre gestion du temps et des activités.

La gestion du temps, pour compter sur du personnel quand vous en avez besoin

Qui dit « plus de clients » dit aussi « plus d’activités » et « plus de commandes à emballer ». Votre personnel est en congé ? Dans ce cas, vous aurez très probablement besoin de soutien pour assurer le fonctionnement de votre entrepôt et de votre service client. Pensez donc à prévoir suffisamment de personnel pour affronter les jours d’affluence.

Visualisez vos besoins en matière de budget et de ressources

Déterminez votre budget et consultez le solde disponible cette année. Préférez-vous le boucler (livraison et facturation dans l’exercice courant) ou le reporter à l’année prochaine ? Ou préférez-vous demander à vos fournisseurs d’établir une facture pour l’exercice courant et convenir d’une date de livraison pour l’année suivante ? Il est important de vous poser les bonnes questions.

Novio Research a mené une enquête auprès d’environ 800 entreprises à la demande de Manutan. Cette étude révèle que 22,5 % d’entre elles bouclent leur budget à la fin de l’année. Parmi elles, 13,8 % choisissent une livraison et une facturation dans l’exercice courant tandis que 8,7 % de ces entreprises privilégient une livraison des articles l’année suivante.

Protégez votre entreprise et vos collaborateurs du froid

N’oubliez pas de bien vous préparer à l’arrivée de l’hiver. Commandez du sel d’épandage pour éviter la formation de verglas. Prévoyez le chauffage nécessaire et équipez vos travailleurs de vêtements de sécurité capables de les protéger du froid. Le froid fait peser des risques sur la santé et la sécurité de votre personnel et donc sur le bon fonctionnement de votre entreprise.

Envisagez également d’installer des éclairages suffisants sur le site de votre entreprise et à l’entrée lorsque les jours raccourcissent.

Grand froid : équiper au mieux votre entreprise et vos collaborateurs ?

Prêt pour une nouvelle année professionnelle

La nouvelle année approche à grands pas et votre entreprise doit y être bien préparée. Identifiez de nouveaux projets dès aujourd’hui et établissez avec votre équipe un plan détaillé comprenant vos activités et vos délais à l’aide de la méthode Scrum.

Apprenez à gérer l’inattendu ! Ne cédez pas au stress, tirez la sonnette d’alarme si vous n’êtes pas en mesure de mener à bien toutes vos activités ou si la pénurie de biens ou de matériaux guette.

Assurez le suivi de vos commandes et de vos activités. Vous devrez tout mettre en œuvre pour que les fêtes de fin d’année constituent également une période de joie pour votre entreprise !

FAQ

Quels sont les objectifs de la gestion du temps et des activités ?

La gestion du temps et des activités poursuivent de multiples objectifs. Cette optimisation vous garantit un meilleur contrôle par exemple du suivi par service ou client. Résultat : vous exploitez plus efficacement votre temps et vos ressources, assurez de meilleures prestations et enregistrez un meilleur chiffre d’affaires.

Existe-t-il des logiciels de gestion du temps et des activités ?

Pour optimiser votre gestion du temps et des activités, vous devrez recourir à des outils adaptés. Vous pourrez recourir à des logiciels de gestion du temps et des activités afin de renforcer la productivité de votre entreprise.

L’e-commerce est en plein boom Mais qu’est-ce que cela implique pour votre gestion du temps et des activités ?

La croissance de l’e-commerce pousse les entreprises à renforcer leur gestion des activités. La demande en produits et services augmente et dans certains secteurs, on peut observer une variation de la demande en fonction des saisons. Ce qui influence également vos besoins en personnel.

Pour toute autre question, s’il vous plaît contactez-nous:

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